Parcours Pixel Art
Mosaïque
Une balade artistique et ludique au cœur de Saint-Père-En-Retz pour découvrir 8 œuvres de Pixel Art en mosaïques réalisées par les élèves de l’école Jacques Brel. En lien avec l’environnement et l’histoire de la Ville, ce parcours a été initié par la Ville de Saint-Père-En-Retz et conçu par l’association 13ARTS. 7 320 tesselles de mosaïques ont été collées par des élèves de la classe de CM2 de 2022. Bravo à Alice, Axel, Célia, Colyne, Ema, Emrys, Enola, Erwin, Giulia, James, Kevan, Liya, Mathéo, Mathis, Mathys, Maylie, Noa, Océane, Robin, Shanessa, Thomas, Yann et Youri.
À vous de trouver les créations
Balade artistique
~3km ~1h
Les trois premières créations se situent près de lieux emblématiques du patrimoine historique de la Ville de Saint-Père-En-Retz. (~500m – 10min. à pieds)
Les quatre suivantes se trouvent aux abords des bâtiments communaux et d’intérêts publics (~500m – 10 min. à pieds)
La dernière création est à découvrir près du lieu de réalisation du projet et elle est signée par les artistes. (~850m – 15 min. à pieds)
Retour à l’hôtel de Ville (~850m – 15 min. à pieds)
Jeu concours
Du 13 au 29 mai 2023
Vous avez été nombreux à partir à la recherche des créations PIXEL ART MOSAÏQUE dans le centre de Saint-Père-En-Retz. Bravo pour votre participation !
Les gagnants ont été informés par email le 30 mai.
RDV le 10 juin à 11h à la médiathèque de Saint-Père-En-Retz pour la remise des lots suivants :
- Lot 1 : 1 place adulte et 1 place enfant pour Legendia Park de Frossay
- Lot 2 : 1 entrée Adulte et 1 entrée enfant pour Défi Nature de Frossay
- Lot 3 : 2 entrées TSN Saint-Viaud
- Lot 4 : 2 entrées Looping Party à Saint-Brévin
- Lot 5 : bon d’achat de 20€ à la librairie la Case des Pins à Saint Brévin
- Lot 6 : 2 entrées enfant à la piscine de Saint-Brévin
- Lot 7 : 1 place Adulte et 1 place enfant à la salle culturelle Saint-Roch de Saint-Père
- Lot 8 : 2 entrées pour le Cinéjade de Saint-Brévin
- Lot 9 : 1 abonnement famille à la médiathèque de Saint-Père
- Lot 10 : 2 tee-shirts
Carnet de jeux
À partir du 30 mai 2023
A destination des 3-10 ans, téléchargez ici un carnet de jeux qui vous aidera à retrouver les créations PIXEL ART MOSAIQUE.
Télécharger le carnet de jeuEn savoir plus
Rétrospective oiseaux
Notre territoire dispose d'une grande variété d'oiseaux, dont vous trouverez ici un petit échantillonnage. Nous remercions Mr Jean-Pierre Masson pour ces magnifiques prises de vue.
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Arbres remarquables
Voici quelques extraits du livre « LES ARBRES REMARQUABLES À SAINT-PÈRE-EN-RETZ »
Livre à l’initiative de Jean-Louis Herman
Photographies / Mise en page : ©Gilles Baumont
Légendes et commentaires : Roland Le Moigne
Logistique, conseil : Jean-Luc Morantin pour l’association Saint-Père Histoire
Pin parasol
« Jusqu'au milieu du XIXème siècle, on plantait, dans certaines familles, un pin parasol à la naissance du premier garçon. »
Pin parasol
« Le tronc de ce pin parasol s'est incliné alors que l'arbre était adulte. La cime de l'arbre commence à reprendre doucement sa verticalité. »
Pin parasol
« Quand le jeune arbre a atteint la hauteur d'environ 1 mètre 50, son bourgeon terminal a été détruit. Lorsque qu'un tel accident arrive, les bourgeons latéraux démarrent et, le plus souvent, l'un d'eux finit par dominer les autres. Ici, cas particulier, ce sont eux bourgeons au lieu d'un qui ont réussi à se développer ensemble. Ils ont donné deux troncs qui se sont répartis de façon équilibrée. »
Figuier
« Le figuier est un arbre de cour de ferme. Il doit être surveillé de près lors de la maturation des fruits. Il ne s'écoule que deux ou trois jours entre le moment où les figues sont mûres et celui où elles vont commencer à blettir, à tomber ou à être mangées par les oiseaux.»
Magnolia à grandes fleurs
« Le Magnolia à grandes fleurs est originaire du Sud-Est des États-Unis. Le premier exemplaire arrivé en Europe fut débarqué au port de Paimboeuf par l’amiral Roland-Michel Barrin de La Galissonnière en 1711. Les pieds qui avaient survécu à la traversée de l’Atlantique étaient vendus très cher à des propriétaires de grands domaines qui les plantaient près de leurs habitations. »
Prunier de Pissard
« C'est le tout premier arbre à fleurir à la fin de l'hiver. Ses fleurs délicates font partie des premières à être butinées. Ce sont des beautés éphémères : la floraison ne dure guère plus d'une semaine... quand elle n'est pas interrompue par des gelées tardives ou des pluies violentes.. »
Séquoia à feuilles d’if
Séquoia sempervirens
« L'espèce Sequoia sempervirens est celle de l'arbre le plus grand du monde. En Europe, les plus grands atteignent 80 mètres de haut. »
Séquoia à feuilles d’if
Séquoia sempervirens
« Arbres de grand prestige, les séquoias peuvent vivre jusqu'à au moins 2.300 ans. Planter un séquoia, c'est se projeter dans les générations futures jusqu'à très loin dans le temps.»
Cormier
« Le cormier fait partie des essences précieuses. Son bois est plus solide que celui du chêne. Sa partie exploitable ne servait jamais de combustible. » « Certains cormiers devenus célèbres ont donné leur nom à des lieux-dits, comme Le Cormier au Pays de Retz, rattaché maintenant à La Plaine-sur-Mer. »
Chêne
Acacia frisia
« L'effet décoratif de cet acacia tient à la couleur jaune tendre de son feuillage due à un taux faible de chlorophylle b.»
Tilleul argenté
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René Leduc
René Leduc
Une passion : l’aviation
Né le 12 mars 1907 à Saint Père en Retz, René Leduc passe son enfance à Frossay chez ses grands-parents. C’est là, à 5 ans, qu’il se retrouve un jour dans l’aéroplane d’Alexis Maneyrol, jeune aviateur, futur héros de l’aviation. De cette rencontre, naît la vocation de René Leduc. Toute sa vie sera consacrée aux avions... En 1923, Maneyrol se tue à 32 ans en Angleterre alors qu’il s’attaque à un record d’altitude. Alors, René Leduc décide de reprendre le flambeau. Après le lycée Clémenceau de Nantes, il entre à l’école d’aviation d’Angers, puis il commence à construire des avions légers.
Après quelques échecs (RL1, RL2), il conçoit et construit le RL12, sorte d’ULM avant l’heure. Chef pilote de l’aéroclub, Il travaille à l’usine de Bouguenais SNCAO (future Sud- Aviation et SNIAS). Alors que le RL 12 disparaît sous les bombardements, il pense déjà à construire un avion pour battre des records d’altitude.
Ce sera le RL 16. À son bord, le 13 juin 1949, il monte à 7788m et pulvérise deux records du monde ! Il construit également le RL19 pour son ami Charles Gasse de Pornic. Mais l’aboutissement de son œuvre sera le RL21. Entre 1960 et 1966, ce sont 7 records du monde de vitesse qui seront battus par ce « Pur-sang » conçu par René Leduc et construit dans son appartement de Nantes. De retour à Saint Père, Leduc continue à s’intéresser à l’aviation, Il reçoit les enfants des écoles qui peuvent admirer son RL 21 qu’il conserve précieusement. Avec son fils, en 1975, il réalise même un ULM (le RL24). Le 25 novembre 90, René Leduc décède à l’âge de 83 ans.
René Leduc a écrit « Vers les champs bleus du ciel » Aux Editions du Pays de Retz
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Pompiers
Histoire des sapeurs-pompiers
Depuis toujours, l’homme a été confronté au fléau du feu. Spontanément les populations se sont volontairement déplacées pour aider à son extinction. Dès le moyen-âge, la lutte contre l’incendie s’organise. Seigneurs et édiles régissent l’alerte et la participation de la population lors des sinistres. Les hommes, à l’appel du tocsin, quittent leurs terres et leurs ouvrages pour participer bénévolement à la lutte contre les incendies.
En 1716, le roi fixe par ordonnance la création des "Gardes Pompes", cette organisation permet aux grandes villes de créer des escouades d’hommes entraînés, équipés et hiérarchisés.
Il faut attendre la Révolution française pour que les premiers équipements de lutte fassent leur apparition. En effet, en 1793, les premières pompes à bras sont achetées par les comités révolutionnaires.
1820-1920 : Une organisation communale
En 1811, Napoléon 1er créé par décret les Corps de Sapeurs-pompiers, il prévoit alors que le cadre communal s'impose pour mettre en œuvre les moyens humains et matériels pour faire face aux risques. Ces corps de sapeurs-pompiers sont organisés en deux catégories :
- Les pompiers municipaux, sous la responsabilité des communes,
- Les compagnies de volontaires de la Garde Nationale, créées sous la responsabilité de l’autorité militaire, dans les villes de garnison.
1905 Incendie de l’Hôtel de Ville à Terrasson. La population forme des chaines de seaux pour alimenter les pompes à bras des sapeurs-pompiers locaux
En 1875, un décret concrétise le passage au statut civil des soldats du feu (hormis à Paris), il prévoit également qu’ils peuvent être appelés pour des sinistres autres que l’incendie et réaliser des sauvetages. En 1898, une loi de finance prévoit pour la première fois une subvention de l'État aux communes pour organiser la lutte contre l'incendie.
1920-1940 La dimension intercommunale
Dès le début du XXème siècle, le département s’organise peu à peu. Sous l’impulsion d’un collectif d’officiers des concours de manœuvres sont organisés annuellement, la formation des hommes s’uniformise, le niveau des équipements s’améliore. En 1914, un poste d’inspecteur départemental du service incendie est créé. La grande guerre perturbera ces avancées et à son terme, les effectifs seront réduits par le lourd tribut que paye la génération d’hommes qui composait les compagnies et qui ne revient pas du front.
1938-La création des SDIS
A partir de 1920, les services d’incendie et de secours en France s’organisent et réalisent des progrès décisifs. Dès 1938, une loi prévoit la création des Services Départementaux d’incendie et de secours (SDIS)
En 1955, le service départemental d’incendie devient établissement public, il s’impose comme l’élément d'entraide et de coordination opérationnelle à l’échelle du département. L’obligation est alors faite aux communes d'assurer les dépenses de lutte contre l'incendie. Les trente années qui suivent vont voir les sollicitations opérationnelles augmenter notablement et se diversifier. Les sapeurs-pompiers intensifient leur formation et l’élargissent à de nouveaux domaines : le secourisme, les spécialités... Le parc de véhicules lui aussi se développe considérablement et s’adapte progressivement aux missions.
En 1982, la décentralisation est appliquée aux SDIS, les conseils généraux prennent alors une place importante dans leur gestion. Cinq ans plus tard, une loi pose les bases d’une nouvelle organisation nationale de la sécurité civile.
Désormais, les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la distribution des secours sont gérés par le SDIS pour tous les centres du département. En 2004, la modernisation de la Sécurité Civile conforte les SDIS dans ce rôle en leur donnant une plus grande autonomie.